24 Juin 2016
Comparez ces chiffres:
- 70% de taxes sur le travail salarié.
- 20% sur la consommation des produits de complaisance.
- 10% sur la consommation des produits de nécessité.
En 2015, nous importons entre 50 et 60% de nos produits de complaisance. Ces produits ne sont donc pas soumis à nos charges salariales contrairement aux produits fabriqués en France.
Les charges salariales sont indispensables au fonctionnement de notre pays et particulièrement dans le domaine de la médecine ou du chômage, de la vieillesse ou de la famille.
Le manque à gagner est donc considérable.
Nous pouvons donc commencer par transférer les cotisations chômage sur la consommation pour débuter le rééquilibrage des comptes mis à mal par la mondialisation.
Cette cotisation dont le taux global est de 6.40%, pourrait être remplacé en équivalence par une augmentation de la TVA de 2%.