DEMOCRATIE, le nom noble du populisme!

On s'assoit à nuit debout pour écouter les parleurs, chacun ayant sa vision unique de la démocratie (de la rue...de la place)

Jugez plutôt:

Le 23 avril 2017:

   - 8 657 000 citoyens votent pour E. Macron.

   - 7 679 000 citoyens votent pour M. Le Pen.

   - 7 060 000 citoyens votent pour J.L. Mélanchon.

Le 11 juin 2017: (49 jours plus tard)

   - 6 391 000 citoyens choisissent les listes E. M. (soit: 74% du 23 avril)

   - 2 990 000 citoyens choisissent les listes MLP (soit: 39% du 23 avril)

   - 2 497 000 citoyens choisissent les listes JLM. (soit: 35% du 23 avril, près de deux électeurs sur 3 ont changé d'avis.)

Ces quelques chiffres affichent la volatilité des choix des électeurs et pourtant, de ces choix dépend une partie du destin de 66 000 000 de Français.

Et cette incertitude exerce son emprise d'une exacte façon sur les référendums qui deviennent des DECISIONS marquées dans le marbre alors que leur résultats dépend de l'air du temps et de la qualité des Tribuns dans un camp ou dans un autre. Ce fut le cas, par ex, pour le refus Français du traité Européen ou pour le Brexit Anglais.

Voici un extrait concernant l'évolution de la popularité de N. Sarkosy et pourtant, cet Homme là était très "prévisible".

Nicolas Sarkozy poursuit sa chute de popularité, perdant 10 points de bonnes opinions en février avec seulement 39% de satisfaits, contre 49% en janvier. C’est le plus mauvais sondage d’opinion, depuis son élection, pour le chef de l’Etat, qui recueille dans cette enquête 58% (+9) d’opinions défavorables (3% ne se prononcent pas)

Rassurons nous la popularité de nos rois étaient déjà oscillatoires.