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Yug DRAFFOB , Vive la Vie

Sur la route de la vie, chacun de nous est Unique dans l'éternité comme dans l'infinité. Fierté et Modestie!

Le Bonheur à toutes Heures

Le Bonheur à toutes Heures

Comment bonheuriser sa journée

 

Le matin, je me réveille et je me dis : 

Chic une nouvelle journée est mise à ma disposition, je vais la savourer lentement.

 

Ce matin, j’ouvre mon volet, il fait beau et je me dis :

Chic, je vais profiter des bienfaits de la chaleur et de la nature en fête.

 

Ce matin, j’ouvre mon volet, il pleut et je me dis :                             

Chic, mes plantes et toute la nature sera arrosée pour être plus belle.

 

Ce matin, j’ouvre mon volet, il pleut encore et encore et je me dis :

Chic, les réserves des nappes phréatiques se rechargent.  

 

Ce matin, me voici bien réveillé et je me dis :

Chic, je vais prendre mon petit déjeuner, c’est mon repas préféré.

 

Voici maintenant venu le petit déjeuner :

Fi des croissants ou autres charcuteries, la pain beurre c’est le bonheur simple garanti chaque jour et partout.

 

C’est maintenant l’heure d’aller « au travail »

J’y vais en vélo : J’aime le côté économique, sportif, écologique et naturel.

Je prends ma voiture : j’aime la rapidité, le confort, l’écoute de ma radio.

J’utilise le Tram : je ressens pleinement mon appartenance à la société humaine.

 

Me voici sur mon poste de travail

En ma qualité de villageois, je vis dans uns société très organisée ou chacun (dans l’idéal) apporte sa contribution en fonction de son talent.

J’en retire toutes sortes d’avantage (confort, auto, culture etc..) et je suis heureux d’apporter ma propre expertise à l’édifice.

 

Mon supérieur hiérarchique me harcèle ;

Je le plains, je préfère être dans ma peau que dans la sienne et si cela dure, je change d’environnement professionnel.

 

Je décide d’acheter une maison :

Comme il s’agit d’un engagement de long terme, je vérifie que mes perspectives familiales et professionnelles sont compatibles avec l’objet choisit et je me réjouis ensuite de bien préparer le confort de mes vieux jours et de laisser une sympathique viatique à mes enfants.

 

Il est midi, me voici à la cantine :

L’Homme, comme tout animal, doit nourrir son corps pour vivre alors je transforme ce moment d’obligation en pur plaisir répété inlassablement car, quelque soit le menu, un simple morceau de pain avec de la sauce me ravit, et quoi de plus beau que de partager ce moment en toute convivialité.

 

Je suis dans ma voiture pour regagner mon domicile : 

 La circulation est intense : Je me laisse porter par le flux ,j’écoute la radio ou mes propres pensées et je me félicite de ne pas forcer ma consommation. de carburant

La circulation est intense et mon humeur n’est pas à la rêverie, alors je flatte l’accélérateur, le frein et le volant et je me réjouis de mon talent de conducteur .

 

Me voici maintenant de retour à mon domicile.

« Bonsoir mon chéri « , ainsi m’accueille mon épouse, évidemment la suite n’est pas forcément aussi rose, alors je me dis : Vivre à deux, c’est ce que l’espèce humaine sait le mieux faire depuis qu’elle existe et cela exige de supporter des contraintes. Dès lors que cette évidence est posée les contraintes perdent illico ce nom et deviennent de simples paramètres.

De plus, il s’agit aussi d’un bon investissement pour faciliter les jours du soir de la vie.

 

Les enfants reviennent de l’école :

Le nombre de décibels est en forte hausse, la vie explose et en regardant toute cette énergie je repense ma propre vie d’ado où j'avais déjà la certitude d'être pleinement un individu parfaitement unique. Un individu dont les parents, même géniteurs, ne sont finalement qu’adoptifs (ils ont choisit de laisser leur potentiel génétique engager le processus de la procréation, sans plus)  portent donc la lourde tâche de conduire le passage de leurs enfants à l’âge adulte.

Alors voyant mes enfants, comment ne pas se réjouir de leurs avancées dans l’essence même de la vie, en passant pour pertes ou profits les désagréments ponctuels qui peuvent se présenter.

 

Le repas du soir :

Voici encore un moment privilégié pour les échanges familiaux  qui sont d’une richesse inouïe lorsqu’ils peuvent se dérouler dans le respect de tous.

 

La soirée :

Voici le moment de la liberté, ou chacun agit à sa guise, seul, à plusieurs, avec, chaque jour, ses variantes souvent selon l’activité de la journée.

 

La nuit :

Qu’il est agréable de coucher son corps pour faciliter le réinitialisation indispensable à son bon fonctionnement.

Je me réjouis chaque soir de la lecture de quelques pages généralement de roman qui me plonge dans un univers chaque fois différent. J’en retire à la fois une grande faculté à m’endormir ensuite très vite et une appréciation toujours plus large de notre humanité.

               

 

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